Octavio Guilherme est ouvrier au sein du département Prestations de services Grâce aux formations qu’il suit régulièrement avec Polygone, il peut travailler en toute sécurité sur chaque chantier.

Octavio, quel a été ton parcours professionnel jusqu’à aujourd’hui ?

Originaire du Portugal, j’y ai travaillé pendant huit ans. À l’époque, j’étais déjà ouvrier dans le secteur de la démolition et de la déconstruction. Puis, je suis arrivé au Luxembourg en 2014 et j’ai été engagé chez Polygone. Je suis chargé de déconstruire ou démolir des bâtiments, déblayer des chantiers.

Quel type de formations as-tu suivi chez Polygone ?

Chaque ouvrier, lors de son arrivée chez Polygone, est formé à son métier, à l’utilisation de certains outils et aux règles de sécurité. Nous avons également l’opportunité de suivre par la suite et chaque année différentes formations pour acquérir de nouvelles compétences ou tout simplement pour nous tenir à jour. J’ai par exemple suivi des formations concernant les nacelles, le travail sur échafaudage ou encore la bonne utilisation d’un harnais de sécurité pour travailler en hauteur. Prochainement, je vais suivre une formation consacrée aux mini-pelles.

En quoi ces formations sont-elles importantes ?

Cela nous permet d’apprendre à travailler en toute sécurité, d’adapter dans certains cas nos modes de fonctionnement pour les rendre plus efficaces et plus sûrs. Ces formations sont essentielles à la sécurité, la mienne, mais également celle de mes collègues et de l’ensemble des personnes qui sont présentes sur les chantiers. J’aide par exemple les ouvriers qui viennent de rejoindre Polygone, je leur apporte mes recommandations ou leur rappelle les règles de sécurité importantes. Toute l’équipe en profite.

La sécurité et la santé au travail font partie de la philosophie d’entreprise de Polygone. La sécurité concerne ainsi chaque collaborateur. Il est primordial que les personnes n’ayant pas encore eu l’opportunité de suivre une formation ne prennent pas le risque de travailler dans un domaine qu’ils ne connaissent pas.